Antoine Sfeir nous a quitté

Quand un grand arbre s’abat il arrive parfois qu’on entende pas d’autres mourir au même moment.

Je paye ici ma dette à un homme qui m’a appris à me forger un embryon de pensée critique sur la manière dont on peut observer le monde.

Il me reste des années de travail avant d’arriver à son niveau mais, à tout le moins, il m’est possible de grimper sur ses épaules.

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