La haine n’a pas de religions, pas de frontières, pas de limites.
On la reconnaît à ce qu’elle attaque ce qui permet à une société de tenir. En dressant les uns contre les autres, en cherchant à créer des fossés qu’elle ne tarde guère à remplir de sang, elle détruit toute possibilité de société.
Si nous voulons tenir comme pays, nous devons résolument refuser sa naissance. Car cette haine prends sa source dans ce discours du “nous contre eux” dont notre pays s’est fait une spécialité.
Et, si comme cela semble se confirmer, c’est sous l’inspiration des idéologues Français du “Grand remplacement” que ce massacre a eu lieu, il est de notre responsabilité de s’opposer sans ambiguïtés à ce discours
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