A l’invitation de Delphine Kouyoumdjian, présidente de l’Alliance Franco-Arménienne du Val de Marne, je me suis rendu à la projection du film « Si le vent tombe ».
Le film raconte un peuple et un pays qui ne veut pas disparaître : les Arméniens du Haut Karabagh. Il nous donne à voir ce qu’exister en tant que peuple veut dire.
Sans angélisme, la violence et la guerre ne sont jamais loin, il nous dit qu’exister est aussi simple et évident que l’eau.
Mais il nous dit aussi que, comme l’eau, rien n’est plus fragile et que pour continuer il faut sans cesse travailler et lutter. Il nous dit qu’exister est autant un mouvement qu’une permanence.
Un beau film qui sous une apparente simplicité cache des symboles forts qui vont au-delà du peuple Arménien.
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