Pour ceux qui ont vu les vidéos de Navalny sur la corruption des hauts gradés russes, rien de surprenant sur le manque de matériel de l’armée russe. Ce qui n’empêche pas Poutine d’envoyer au massacre des jeunes qui ont signés l’équivalent de ce qu’était le Volontariat Service Long (VSL) quand le service national existait en France.
Car, celui que certains décrivent encore comme un grand dirigeant, se terre dans son bunker pendant que les enfants de la Russie se font tirer comme des lapins. Et, pour ceux qui échappent au feu, morigéner comme des sales mômes par des Ukrainiens passionnément attachés à leur liberté.
Cela prêterait à sourire si on oubliait qu’entre 7 000 et 10 000 soldats russes ont perdus la vie dans cette monstruosité voulue par un seul homme. Qui lui dors sur ses deux oreilles loin des combats.
Et surtout, si les victimes civiles ukrainiennes ne s’accumulaient dans un décompte macabre qui donne la nausée.
Une citation de cet article de ce qu’il c’est passé lors d’un échange non protégé entre unités russes :
« BURAN-30, visiblement en difficulté, demande une « solution de repli ». C’est un Ukrainien qui lui répond : « Rentre chez toi, Buran. Mieux vaut être un déserteur qu’un fertilisant. » »
New York Times cité par Le Monde
Puissent les soldats russes suivent massivement ce conseil : leur place est dans leur maison au sein de leur famille, pas en Ukraine à faire couler le sang.
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