La banalité du mal

Cela faisait 5 ans que je n’avais pas revu cette scène.
C’est un film certes. Mais la force de conviction de la comédienne, la justesse du texte m’ont fait ressentir à quel point Hannah Arendt est une de mes références intellectuelles.
Le mal se loge dans l’absence de la pensée et les pires bourreaux sont des gens normaux qui ont des vies normales.
Sauf que leur refus de penser et les circonstances en font les pires criminels de l’Humanité.
A voir, à revoir, car si cette flamme s’éteint, les ténèbres nous engloutiront.

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