L’utilisation du 49-3 à moins d’un an de la présidentielle est un aveu de faiblesse de François Hollande. Le gouvernement en subira les conséquences éventuelles, mais cette situation n’est possible qu’avec l’aval du président.
Maintenant, nous entrons dans la phase de psychodrame de la censure. La menace de la dissolution sera d’autant moins efficace qu’elle est quasi inopérante. Reste la peur de l’aventure si le gouvernement Valls tombait. Cela calmerait les pseudo frondeurs.
Mais comment François Hollande pourrait-il se présenter en rassembleur devant les Français après un tel aveu d’échec ? Il y a la pire qu’une erreur, une vraie faute politique.
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