Donc Vladimir Poutine, après s’être opposé à toute intervention, a envoyé les fusiliers marins des forces spéciales russes en Syrie. Et il ne se lasse de le faire savoir pour faire oublier l’Ukraine.
Pour Bachar El Assad, cela lui permet de contrebalancer le poids de plus en plus important des Pasdaran Iraniens en jouant, à terme, l’un contre l’autre. La famille El Assad est championne dans ces jeux d’équilibre.
Et pendant ce temps là, le peuple Syrien a le choix : égorgé, au mieux, par Daesh ou bombardé au baril explosif par ce qui est encore le pouvoir légal.
Après avoir entretenu pendant des années une guerre civile au Liban, le prix à payer par la Syrie est incroyablement élevé. Et ce n’est pas le gouvernement qui le paye….
Poster un Commentaire